Et c’est parti pour une période d’avant-fêtes des plus palpitantes pour les fans de Star Wars, puisque la série télévisée The Mandalorian a débarqué sur Disney+ depuis le 12 novembre. The Cherryship vous livre 8 raisons pour lesquelles il ne faut pas rater cette courte saga.
Lucasfilm et Disney l’avaient promis, ils l’ont fait; The Mandalorian retrace les aventures d’un chasseur de prime – originaire de la fameuse planète Mandalore – et nous plonge dans une galaxie très très lointaine où il ne fait pas si bon vivre après la chute de l’Empire. Guildes, loyalistes de l’Empire et toutes les créatures galactiques sorties de l’imagination de Georges Lucas reprennent du service pour nous mener – on l’espère – au coeur de certains des secrets les mieux gardés de la saga. L’on découvrira peut-être plus de détails sur les origines de Yoda et de son espèce (nommée littéralement Yoda’s species dans le scénario).
Alors, pourquoi streamer la saga?
- Il ne s’agit pas d’un animé mais bien d’une série en prise de vues réelle. L’acteur incarnant le chasseur de primes, Pedro Pascal, campe parfaitement le personnage taciturne et industrieux que tous surnomment “Mando”.
- C’est un vrai plaisir de revoir l’armure-signature des Mandaloriens, dont le design varie selon les maisons. On se souvient de celles de Jango et de Boba (qui n’étaient pas de vrais Mandaloriens cela dit). On en apprend plus sur le Beskar, métal précieux dont étaient faites les armures et dont les mines semblent avoir échappé au contrôle des Mandaloriens.
- On revient sur les traumatismes que le héros a vécu durant son enfance. A travers des flashbacks, notre chasseur se remémore une attaque de droids ayant terrorisé les habitants de sa cité. Des droides, ses parents qui l’emportent en courant, une trappe qui se referme sur lui; Voilà les images qui hantent notre héros depuis toujours. Symboliquement, le fameux casque des Mandaloriens devient une protection aussi physique qu’émotionnelle.
- Le bébé (de 50 ans ) de l’espèce de Yoda est absolument adorable avec ses grands yeux et ses oreilles élancées. On le devine également très sensible à la force et pourvu sans doute aucun d’une forte densité de midi-chloriens, au vu de son exploit avec le “rhinocéros” (de la race des Mudhorns pour les affiliés).
- Mando s’est fait un ami, Kuiil, et au vu de la nature solitaire du chasseur de primes, ce ne doit pas être souvent qu’il propose à quelqu’un de rejoindre son équipe (ce que le Ugnaught refusera).
- On adore percevoir les émotions de notre héros par coups d’oeil furtifs. Que ce soit son lien avec l’enfant ou ses amitiés à venir, l’on se réjouit d’ores et déjà du déroulement de ses relations humaines (et moins humaines).
- Voir des Impériaux en fuite, condamnés à se réunir en cachette et, disons-le, poussiéreux, est rafraîchissant. Attendons de voir ce que nos méchants préférés concoctent pour leur grand retour.
- Enfin, last but not least, on adore le décorum et l’esthétique aux tons Western de la mini-saga. Du rythme aux postures, en passant par la musique, l’on a bien à faire aux aventures d’un vrai Cow-Boy de l’espace, et ça, c’est dans la plus pure lignée de l’univers de Georges Lucas.
– We have your four to one!
– I like those odds
Convaincu-e? N’hésite pas à commenter.
Je me réjouis de voir cette série. Merci pour cet article.
J’ai vu le premier épisode et je crois bien que je vais crocher. On dirait que cette série à été spécialement conçue pour la capitaine du bateau.
Hello There 🙂 oui, sur le Cherryship on est plus excités par la saisons 2 de Mando que par la fin des classiques sequels